# MIZUKI
Etripeuse de brins d'herbes chatouillasseux è__é
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Age : 28
PUF : * NECERTI
Autre : * BiiP Biip J'chuis la =D
Date d'inscription : 10/11/2008
 | | Sujet: __ Histoire Mar 11 Nov - 0:50 | |
| B R E A K I N G ____ T I M E Je dormais encore quand le coq se mit a chanter . Ouvrant un œil , je frémis légèrement , sentant les doigts du soleil se glisser sur ma fourrure lustrée . D’un mouvement de tête , je chassais quelques mouches impertinentes , et descendis du fauteuil ou j’étais roulée en boule . Les bipèdes n’aimaient pas me voir dormir sur les tissus molletonnés qui recouvraient leurs objets , mais j’aimais parfois braver l’interdiction , par simple souci de rompre la monotonie .
Grimpant sur le radiateur , je miaulais doucement , sachant d’instinct que s’était l’heure ou le réveil sonnerait , et ou on me donnerait a manger .
De longues minutes s’écoulèrent . Le réveil sonna .interminable . S’arrêta seul . Aucun bruit de pas . Vaguement inquiète , je miaulais de nouveau , avant de sursauter . La tête ébouriffée d’un matou gris venait de surgir dans l’encadrement de la porte .
- Tu n’as pas le droit d’être la , Unlucky !
- Bien sur que si !
- Et les bipèdes ?
- Tu n’est pas au courrant ?
Devant mon air perplexe , il écarquilla les yeux , il m’informa qu’il avaient disparus . Tous . Plus trace de leurs présences . Comme désintégrés . Croyant a une mauvaise blague , je furetais dans toute la maison . Le fait était bien la . Les cinq membres de la famille Graent avaient disparus .
- Mais comment vais je manger ?!
- Eh bien , chasse !
Je baissais les yeux . Le matou comprit immédiatement le problème , et se mit a grommeler dans sa moustache qu’on était mal partis si chaque minette du coin était nourrie a la royal cat’ .
* * *
Quelques mois plus tard , deux clans se formaient . Celui des chats et celui des chiens , qui se partageaient la ville . Unlucky était notre chef . Celui des chiens restait inconnu . entre temps , notre peuple avait appris a se débrouiller . en attendant une solution , en tentant de survivre aux attaques des chiens et des rapaces affamés . Le chacun pour soi était désormais , la seule loi . | |
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